Quelques avis sur mes livres
Avis et chroniques sur mon roman "Les derniers feux de la royauté édité dans la collection Aliénor chez Harper Colins.
Chroniques :
5,0 sur 5 étoiles De l'aventure et de la passion
Commenté en France le 20 juillet 2020
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J'ai lu cette histoire d'une traite ! "Les derniers feux de la royauté" est une romance historique de Virginie Platel qui nous fait découvrir la Révolution Française, une fois n'est pas coutume et c'est tant mieux... sous l'angle de la région sud-est.
En fuyant un Paris à feux et à sang, Jeanne Mercier, peintre à la cour du roi, nous fait prendre la route du soleil en calèche pour rejoindre l'Italie.
Après une traversée tumultueuse et harassante, elle arrive à Menton sans le sou, incapable de payer les derniers kilomètres qui la séparent de son but.
Evidement, dans le plus pur style de la maison Harlequin, à Menton elle tombe sur le plus bel homme qui puisse exister, Gabriel Forsani, intelligent, généreux, travailleur, ambitieux mais aussi hélas... révolutionnaire !
On se croirait dans un film!
C’est très visuel, rythmé, avec du suspense. Une fois commencé on ne peut pas s’arrêter de le dévorer ! L’écriture est fluide et agréable, le style est scénarisé et les personnages très attachants pour certains et d'autres qu'on se plait à détester. Et que dire de la description de Menton et de la région sud-est qui invitent au voyage avec le soleil, la mer, les oliviers, les citronniers et toutes les odeurs et saveurs du Sud ?
On s’y croirait. Bref je recommande cette romance historique sans aucune modération !
5,0 sur 5 étoiles Une belle histoire
Commenté en France le 16 juillet 2020
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Lu un jour de pluie et de grisaille, j’ai été transportée dans un monde ensoleillé qui m’a plu. C’est un bel endroit et une belle période de l’histoire que je connais bien. Je recommande cette lecture à celles et ceux qui veulent s’évader de leur vie quotidienne.
5,0 sur 5 étoiles Un scénario de film....
Commenté en France le 26 août 2020
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Virginie Platel possède une qualité d'écriture certaine. Elle l'illustre ici de manière magistrale, presque cinématographique en y ajoutant les saveurs et odeurs du sud-est, les mimosas, le romarins et les fameux citrons de Menton. Il faut absolument lire ce roman romantique et haletant.
5,0 sur 5 étoiles Roman qui fait voyage a travers le temps
Commenté en France le 12 août 2020
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Jolie roman qui me ramene dans mon sud natale. L'heroine est attachante et debrouillarde. On sent que l'auteur a fait beaucoup de recherches pour ecrire son roman. On a le coeur qui palpite tout le long de l'histoire en esperant que l'heroine va pouvoir garder sa liberte et realise ses reves.
Lilie (les miss chocolatines bouquinent)
4,0 sur 5 étoiles Amour, passion et révolution !
Commenté en France le 19 août 2020
Enthousiasmée par la découverte de cette nouvelle collection, je n’ai pas longtemps hésité avant de replonger dans l’univers des romances historiques. Très différente de celle que j’avais lu il y a quelques mois, l’histoire d’amour ici développée est touchante, intense et émotionnellement très forte.
Nous faisons ici connaissance avec Jeanne, une peintre renommée à la cour, qui fuit Paris. Après de nombreuses péripéties, elle échoue à Menton, alors qu’elle voulait rejoindre l’Italie. En attendant de pouvoir terminer son voyage, elle est hébergée par Gabriel Forsani, une figure locale connue pour ses cultures de citron et son implication dans la vie de la région. Ces deux personnages que tout opposent pourront-ils s’entendre ? En ces temps troubles, sauront-ils se faire confiance ou la méfiance prendra-t-elle le dessus ?
Jeanne est une jeune femme évoluant dans le milieu de la noblesse et qui, inquiète pour sa sécurité, décide de fuir Paris et la Révolution qui y fait rage. Pourtant, quand on y regarde de plus près, elle n’est pas réellement issue de la noblesse mais ayant évoluée dans l’entourage de Marie-Antoinette, la reine tant décriée, elle n’a pas d’autres choix que de fuir. C’est une protagoniste humble, travailleuse, inventive et de profondément gentil. Méfiante, elle n’en reste pas moins sociable et avenante avec ceux qui l’entourent. Gabriel, de son côté, est LE méditerranéen, tel qu’on le rêve : brun, aux yeux bleus, bronzé, viril, un peu (beaucoup) orgueilleux mais aussi profondément attaché à sa terre et à tous ceux qui arrivent à percer sa carapace. Malmené sentimentalement, il déteste le mensonge et n’entend plus ouvrir son cœur. Travailleur, il voit dans la Révolution Française comme un possible souffle de liberté et d’égalité dans la société. Entre ces deux personnalités, que tout semble opposer, une complicité va rapidement apparaître mais leur relation sera loin d’être aussi calme et apaisée que la mer méditerranée….
C’est la première fois que je lisais un roman de l’autrice et je dois dire que j’ai été charmée. En effet, sa plume visuelle et entraînante m’a permis de passer un très bon moment de lecture. On sent, en arrière plan, toujours présente, les tensions liées au contexte révolutionnaire même si le sud-est de la France a été relativement épargné. Cette histoire m’a surtout permis d’en apprendre un peu plus sur la principauté de Monaco et la famille Grimaldi qui, pendant un temps, étendait son influence jusqu’à la frontière italienne. L’intrigue est intéressante, ponctuée par les coups de sang de Jeanne et Gabriel. L’évolution de leur relation monte en intensité au fil des chapitres et nous questionne, presque, jusqu’à la fin.
Pour conclure, j’ai passé un très moment de lecture avec cette romance historique. Amour, passion, révolution et conspirations sont les maîtres mots de cette intrigue qui vous emportera dans les collines autour de Menton, avec en toile de fond, les révoltes populaires inspirées par les Lumières.
5,0 sur 5 étoiles Révolution française et romance à Menton
Commenté en France le 1 août 2020
Virginie Platel est une auteure et scénariste qui écrit dans différents genres, tel que la romance, la Chick lit, l’historique, la science-fiction… J’ai découvert sa plume il y a 1 an avec « Bleu Lavande » qui avait déjà pour décor le sud de la France. Et depuis je suis ses sorties de près et je ne suis jamais déçue. « Les derniers feux de la royauté » est une romance historique qui va nous emmener à l’époque de la révolution de 1789. En suivant le destin de Jeanne, nous verrons comment cette période aussi troublée a été vécue ailleurs qu’à Paris. Son écriture claire et fluide, ainsi que ses descriptions nous permettent de faire un beau voyage sur la Côte d’Azur et d’en découvrir un peu plus sur la famille princière de Monaco. Une belle romance qui ne prend pas toute la place. Mais sera-t-elle vouée à l’échec vu leurs différences ?
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L’écriture soignée et agréable permet au lecteur d’entrer facilement dans l’histoire, et d’enchaîner les pages sans nous en rendre compte. Est-ce le côté scénariste de Virginie Platel qui transparaît dans ce récit ? Car toutes ses descriptions nous permettent de vivre l’histoire comme si nous étions devant un film. Autant dans le visuel, l’ouïe ou l’odorat 😋. Une romance qui prend son temps à se construire, et dont l’issue n’est pas forcément prévisible. On y retrouve des personnages attachants, et d’autres qu’on aimerait voir à la guillotine 🤫. Les tensions sous-jacentes dues à la Révolution ne sont pas oubliées. L’auteure nous convie à cultiver notre bonheur, tout en revoyant nos ambitions et nos priorités. “Les feux de la royauté” est jalonné de nombreux rebondissements et suspens qui maintiennent notre attention jusqu’à la fin du livre. Une lecture qui sent bon le Sud et parfaite en cette période estivale où l’on peut encore plus avoir envie de s’évader et voyager.
Utile
500 PREMIERS REDACTEURS D'AVIS
4,0 sur 5 étoiles Une belle surprise
Commenté en France le 25 août 2020
Juin 1789, Jeanne fuit Paris et ses révolutionnaires. Elle ne fait pas partie de la noblesse, mais évolue dans ce milieu. Protégée de la Comtesse du Barry et proche de Marie-Antoinette, à qui elle est très attachée, elle tente de rejoindre l’Italie. Malheureusement, son voyage est avorté et elle est obligée de s’arrêter à Menton. Elle trouve refuge chez Gabriel Forsani, réputé pour les citrons qu’ils cultivent et pour ses activités de révolutionnaire. Aussi, Jeanne lui cache qu’elle est une peintre renommée, à la cour, en raison de son talent pour les portraits.
Jeanne a besoin d’argent pour continuer sa route. Grâce à Gabriel, elle tient un étal, au marché de Menton. Elle espère se constituer un pécule pour se présenter, dans une tenue convenable et avec du matériel de peinture, au roi monégasque. Elle montre qu’elle est une femme courageuse, prête à se réinventer et pleine d’ingéniosité.
J’ai aimé découvrir de quelle manière la dynastie Grimaldi s’est implantée sur le Rocher et quels étaient les rapports que le royaume de Monaco entretenait avec Versailles. Virginie Platel décrit, également, la façon de régner du prince Honoré III, adoré par une partie de ses sujets et l’objet de colère de la part des révolutionnaires, dont fait partie Gabriel. Je me suis aperçue que je n’avais aucune connaissance sur l’Histoire de ce territoire et que je n’avais jamais pensé à la Révolution, à l’extérieur de Paris, que je ne m’étais jamais questionnée sur ce sujet, comme si les événements n’avaient concerné que la capitale française. L’auteure montre ce qui différencie les révolutionnaires provençaux et ceux parisiens : perception des faits, revendications, méthodes, etc. De plus, le fait que Jeanne et Gabriel évoluent dans deux milieux différents, a provoqué une réflexion en moi, mon empathie s’étant partagée, entre ces deux mondes, me rappelant que, souvent, on ne retient de l’Histoire qu’un seul aspect.
Évidemment, lorsque l’on lit une romance, on s’attend à une attirance entre les personnages principaux. Or, Jeanne a été obligée de mentir à Gabriel et ne peut lui révéler sa véritable identité. Ce dernier ne pardonne pas les mensonges, il a déjà assez souffert. De plus, la jeune fille ne peut rester, en France, le danger est trop grand pour elle. Son visage est connu de tous. J’ai été agréablement surprise que cet aspect de l’intrigue ne soit pas le sujet principal.
Enfin, j’ai été séduite par l’atmosphère du roman. Virginie Platel, qui est scénariste de séries à succès, telles qu’ « Un gars, une fille », « Scènes de ménages », « Mère et fille », etc., a mis ses talents cinématographiques au service du récit : elle fait appel à tous nos sens : visuels grâce à la description chatoyante des paysages, olfactifs par le rendu des parfums, etc.
Conclusion
Je savais, en lisant, Les derniers feux de la royauté, que j’allais sortir de la zone de confort, n’étant pas une adepte des romances. Cependant, j’aime beaucoup les romans historiques, c’est la raison pour laquelle je me suis laissé tenter. Je suis très heureuse de ce choix, car ce livre a été une très bonne surprise. J’ai pris énormément de plaisir à me laisser porter par les personnages de Jeanne et Gabriel, qui sont, tous les deux, des personnages attachants avec de fortes personnalités, tout en découvrant un aspect de la Révolution Française que je ne connaissais pas.
3,0 sur 5 étoiles Romance historique
Commenté en France le 14 septembre 2020
Les derniers feux de la royauté est une romance sympathique qui fait passer un bon moment dans le sud de la France, en plein 18e siècle, marquée par la Révolution. L’histoire d’amour est mignonne, le personnage féminin fort et bien campé. Même si c’est bien entendu cousu de fil blanc, on apprécie le cadre bucolique de Menton, les fastes de Monaco, les péripéties plus rythmées concernant la rébellion antimonarchique, même si ce n’est pas le sujet de fond. Cela apporte une couleur historique dépaysante avec des références pour (re)découvrir l’histoire du pays. Cette lecture a, je pense, pâti d’un timing en sa défaveur car elle fait suite à ma précédente lecture Harlequin, Une viking à Rouen, qui a été un coup de cœur surprise pour moi. Alors, certes, la période et l’auteure sont différentes, mais j’avoue avoir été un peu moins captivée par cette romance. Difficile de passer après une lecture qui emballe autant. Mais, cela reste une fiction légère et agréable quand même.
5,0 sur 5 étoiles Un beau roman à lire absolument
Commenté en France le 24 août 2020
Jeanne Mercier quitte à la hâte Paris à l’aube de la révolution Française qui commence à gronder. En route vers l’Italie, elle se retrouve malgré elle coincée à Menton suite à l’attaque de sa diligence.
Par un heureux hasard, elle rencontre Gabriel Forsani qui va l’héberger le temps qu’elle puisse repartir vers l’Italie.
Portraitiste de la reine Marie-Antoinette, Jeanne va devoir se réinventer pour avancer et s’en sortir.
Gabriel ne restera pas insensible à son charme et ses talents mais leurs destinées semblent différentes, elle est attachée à la royauté quand lui est plus attiré par l’émancipation que procurerait la révolution et d’échapper au joug du prince de Monaco dont il dépend.
Virginie Platel nous dépeint une Côte d’Azur au XVIIIeme siècle avec maestria. Menton et ses paysages font comme un 3eme personnage central à l’histoire avec Jeanne et Gabriel.
Comme à son habitude, surtout quand elle touche à l’Histoire de France, on sent que Virginie s’est beaucoup documentée sur l’époque qu’elle évoque. Et elle n’a vraiment pas son pareil pour parler d’amour et des rapports humains.
De plus, elle a très joliment adapté son écriture pour s’approcher au mieux au langage de l’époque de Louis XVI
Un très beau roman que je conseille.